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Notre plus grande histoire d’amour est celle que nous avons avec nous-même par Adeline PETIT.

En effet, la seule personne qui partagera ce corps dans lequel vous lisez et vivez ces lignes…

C’est bien vous !

C’est l’individu qui a pour nom de naissance celui que vos parents vous ont donné où à défaut une administration. Cependant, dans cette société de consommation de masse qu’est la nôtre à l’heure actuelle…

Pourquoi la création de toutes ces richesses engendre tant de déséquilibre du point vue psychique humain et environnemental ?

Car le but de la vie est de créer des richesses matérielles, psychiques et nutritives pour notre collectivité dans le respect de notre milieu.

Néanmoins, nous entendons et lisons que la société est devenue trop individualise. Alors la question suivante se pose : Pourquoi sommes-nous arrivés à ces extrêmes ?

Je vais vous proposer une réponse simple, enfin je ferai de mon mieux pour qu’elle le soit  car c’est le but de Mouvelife. A la vue et à l’analyse de mon expérience d’un burnout sur la période 2009-2010, nous sommes des êtres émotionnels dépendants. Nous n’arrivons pas à nous valoriser avec autonomie ou liberté. En effet, être adulte c’est être responsable de ses actes sur tous les plans : physique, matériel, psychique et émotionnel. Le voici, l’émotionnel, le quatrième ingrédient magique ! Celui que nous nous employons à contrôler ou nier.

Et pourtant, l’expression de nos émotions est la clé de notre autonomie psychique, matérielle et physique.

Céline Alvarez explique très bien dans son livre « Les lois naturelles de l’enfant » qu’un individu qui se construit, le réalise dans la valorisation de ses propres expériences. Toutefois dans la plupart des systèmes éducatifs parentaux ou de collectivité, c’est la valorisation de l’expérience du collectif sur l’individu qui est retenue dans 90% des cas. On n’encourage même nos enfants à être au-dessus de ce collectif, c’est un non-sens et un oxymore. C’est l’une des raisons pour laquelle la société est partie dans les extrêmes de l’individualité non valorisée.

En effet, nous sommes attirés par ce système comme une abeille qui butine des fleurs car on nous a appris à nourrir les besoins émotionnels du collectif mais pas celui de l’individu.

Et pourtant, une personne qui n’est pas nourrie à la racine ne peut être autonome pour nourrir le collectif : elle se vide et s’épuise…

C’est ce qui s’est passé pour moi et pour beaucoup d’autre personne qui ont fait des dépressions ou burnout et pour tous avec des degrés divers selon votre environnement familial, amical et professionnel.

J’ai donc dû réapprendre à me nourrir émotionnellement car avec du recul, je n’avais aucune maturité et autonomie dans ce domaine. C’est ce que l’on appelle l’estime de soi qui n’a rien à voir avec l’égocentrisme.

L’égocentrisme est la valorisation de soi au détriment du collectif c’est-à-dire en mettant certains rôles en déconsidération. Exemple que je constate tous les jours car je travaille aussi pour un cabinet spécialisé dans les entreprises de nettoyage. Mais s’il n’y avait pas d’agent d’entretien, il y aurait une prolifération des maladies. Tout le monde a son rôle et sa valeur sans exception, même la personne la plus négative pour nous montrer que nous empruntons un chemin non constructif et créateur. Car la création est l’essence de la vie mais pour cela le créateur doit avoir confiance en lui et en son potentiel.

L’estime de soi, c’est reconnaître sa valeur en tant qu’un individu dans un collectif en reconnaissant que tout le monde a son rôle.

Chaque individu a son rôle et se spécialise dans celui-ci quand il a le choix de l’expérimenter et que nous l’encourageons en tant qu’ingrédient et potentiel à construire ses rêves pour lui et pour enrichir donc par la même occasion le collectif. Le collectif est la somme de la création de tous les rêves des individus à explorer le monde et notre univers vers l’UNI-VERS-ELLE :

Elle = la VIE !

Voilà pourquoi il est important de créer et de bonifier notre version de nous-même.

C’est ce que j’ai écrit dans le livre « Un sens à Soi, comment être en équilibre dans un monde en déséquilibre », disponible en autoédition chez Amazon. Il sera disponible chez les éditions Amalthée à la rentrée scolaire 2020.

Celui-ci explique mon mode de vie depuis mon burnout et comment je construis mon indépendance émotionnelle au jour le jour, pas à pas, pour être au service de la collectivité. En résumé, c’est un mode opératoire.

Merci à vous…et merci à nous !

A bientôt.

Adeline PETIT, auteure en développement personnel.

http://www.unsensasoi.com

Article en audio sur YouTube:

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Interview

La libération par le chant – Jann Halexander – Interview

Le chanteur-pianiste franco-gabonais (‘C’était à Port-Gentil’) s’exprime sur la puissance libératrice du chant au micro de Mouvelife.

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Tita Nzebi ou le chant-transmission

Nous inaugurons le mois de février avec la thématique de l’amour.

Et pourtant, nous mettons en avant la chanson ‘Bayéndi’ de Tita Nzebi, qui s’adresse ici à la mort. Certain-e-s seraient étonné-e-s. Mais pas nous.

Bayéndi

Peut-on penser la mort sans la vie, sans l’amour ? 

La chanson ‘Bayéndi’ (qui veut dire ‘les partants’ en langue nzebi) est belle et claire : la chanteuse gabonaise s’adresse à la Mort et lui reproche de faire partir ceux et celles qui n’ont pas eu le temps de construire un chemin de vie ici. Mais ce n’est pas tout à fait un chant de colère. Pas non plus apaisé. C’est un constat. Dur, mais tempéré par sa voix, les chœurs, les mélopées. La chanteuse s’inscrit, à l’instar de Catherine Braslavsky et de son spectacle ‘Ave Eva’ dans un cycle imperturbable depuis des milliards d’années : la vie, la mort, la vie, la mort, celle qui vient de la nature, celle qui vient de la prédation humaine…ce n’est pas toujours ‘juste’ selon nos critères, selon nos époques. Mais c’est là, il faut faire avec. Prendre acte : et avancer. Il y a plusieurs siècles, sans doute un troubadour sumérien s’adressait à la mort lui-aussi. Dans plusieurs siècles, une chinoise ou une argentine fera la même chose. Et c’est ainsi que le chant devient transmission, devient force qui s’inscrit dans ce cycle de vie, de mort, que ce chant est fondamental, qu’il ne saurait être réduit à des concours de voix pour divertir et faire oublier les gens.

‘Bayéndi’ sur l’album ‘From Kolkata’, label Bibaka, 2019

En concert au 360 Paris Music Factory le 28 mars.

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Qu’est-ce qui nous empêche de réaliser nos bonnes résolutions ?

Qu’est-ce qui nous empêche de réaliser nos bonnes résolutions ?

Tout d’abord je me joins à ma consœur Lwanga Ambella pour vous souhaiter mes meilleurs vœux 2020.

Que nos projets se réalisent au-delà de nos rêves dans les domaines que nous souhaitons.

Je vais compléter ce thème en l’abordant du point vue dit « négatif ». En effet, nous nous donnons souvent des objectifs en début d’année mais qu’est-ce qui nous empêche de tenir et de concrétiser ces bonnes résolutions ?

 Réponse : Ce sont NOS PEURS conscientes mais surtout inconscientes.

Maintenant, comment connaître nos peurs inconscientes, les accueillir et les accepter ?

C’est tout simplement un processus d’observation de soi.

À la suite d’un burnout sur la période 2009-2010, j’ai eu un déclic qui a changé toute ma vie. J’ai accepté intégralement que j’étais responsable de ma vie. J’ai découvert et accueilli mes peurs pas à pas et j’en ai fait mon chemin de réalisation.

 Vous voulez tenir vos bonnes résolutions ? Pour cela il faut prendre conscience de vos peurs et les transformer à travers des activités de développement personnel ou à travers l’art. Car elles ont besoin d’être reconnues pour les transformer et les exprimer en douceur. En effet, c’est comme cela qu’elles ne vous hantent plus l’esprit. C’est ainsi qu’elles deviennent des tremplins, des leviers sur le chemin de vos rêves et la réalisation de votre Vie.

Etape numéro 1 : cela commence par l’art de les observer sans analyse et sans jugement. C’est ce que l’on nomme l’art du lâcher prise.

Etape numéro 2 : les exprimer pour qu’elles deviennent des alliées et non des ennemies.

Nous vous proposerons prochainement une méthode classique pour les accueillir : la méditation. C’est-à-dire l’art d’être dans la pleine conscience de soi ou encore appelé le « mindfulness ».

Vous trouverez sur ce lien un article intéressant sur la méditation et ses bienfaits de France

Culture : “Pourquoi il faut mettre la méditation au centre des thérapies”.

https://www.franceculture.fr/conferences/universite-de-strasbourg/pourquoi-il-faut-mettre-la-meditation-au-centre-des-therapies

Maintenant vous êtes prêts pour accueillir vos peurs et en prendre conscience pour qu’elles deviennent vos alliées. Alors, nous vous disons à bientôt sur Mouvelife pour l’astuce sur les mécanismes de la méditation.

L’équipe de Mouvelife vous souhaite de réaliser l’un de vos rêves cette année. Note blog a pour objectif de transmettre du développement personnel pour tous alors n’hésitez pas à nous faire part de vos attentes dans les commentaires.

A bientôt !

Adeline PETIT

Auteure et Co-driver en développement personnel.

http://www.unsensasoi.com

Mouvelife est un blog dynamique en pleine expansion et c’est grâce à vous, merci. Vous pouvez faire un geste en nous soutenant financièrement sur Tipee : https://fr.tipeee.com/mouvelife

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Qu’est-ce qu’une bonne résolution ? par Lwanga Ambella, Psycho-Somatothérapeute

Qu’est-ce qu’une bonne résolution ? par Lwanga Ambella, Psycho-Stomathérapeute 

Une résolution est une décision fermement arrêtée. C’est un acte par lequel on décide volontairement d’accomplir quelque chose. Une bonne résolution est une résolution bonne pour moi-même. Elle correspond à ma personnalité et à mes besoins du moment en prenant en compte les circonstances extérieures., la réalité du terrain.

Je dois donc commencer par savoir qui je suis, être honnête avec moi-même et oser me regarder dans le miroir tel(le) que je suis avec mes qualités et les points qui méritent d’être améliorés. Quelles sont mes valeurs intrinsèques? Qu’est-ce qui me définit en tant que personne ? Et quelles sont mes ressources ? Il s’agit d’un véritable regard sur soi, d’une introspection nécessaire pour mon développement personnel.

Puis, je dois identifier mes besoins. Ils peuvent être d’ordre physique, psychologique, affectif ou matériel. Qu’estce qui me rassure ? Est-ce que ma sécurité est assurée et est-ce que je bénéficie d’un cadre rassurant ? Qui peut répondre à mes besoins ?

Ensuite, je définis mes objectifs. Quel but je souhaite atteindre ? Quelles orientations je décide de mettre à ma vie ? Ces objectifs peuvent être à court, moyen ou long terme. Il est important de se fixer des objectifs clairs, précis, réalisables et de s’y tenir. On pourra tout de même apporter certaines modifications pour s’adapter à un changement de contexte.

Je décide alors des actions à engager. En m’engageant, j’agis directement sur mes valeurs.

Finalement, je mets en place des outils afin d’évaluer la réalisation de mes actions.

En fin de compte, une bonne résolution c’est d’abord un choix, une véritable entreprise du Soi que l’on décide de mettre en œuvre. C’est un bilan de sa vie, une introspection afin d’orienter son gouvernail en vue d’un accomplissement. C’est prendre soin de soi, intégrer que l’on est responsable, en pleine conscience. C’est un acte de foi qui donne un sens à sa vie. C’est se donner sa parole à soi-même et donc finalement s’aimer.

Par la méditation ou la prière, je peux atteindre le silence intérieur qui me permet de faire le vide et laisser l’espace afin de prendre de bonnes résolutions venues du cœur.

Lwanga Ambella, Psycho-Somatothérapeute

Centre de Bien-être http://www.lwanga.fr