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C’est quoi le #Pardon ?

Le pardon est une part que l’on se donne à soi. Un don que l’on nous a « volé » par ce principe d’infériorité ou de supériorité.

C’est ce que j’ai expérimenté à travers une jeunesse dépourvue de valorisation et d’amour inconditionnel. Je me suis pardonnée étant jeune d’avoir écouté la parole et les actions #saintes de mes parents. Car petit à petit j’ai retrouvé ma souveraineté, c’est-à-dire mon estime de soi.

Le pardon est devenu complet et la guérison s’est enclenchée quand j’ai osé être moi-même, face à mes parents, qui on reproduit les défauts de leur éducation parce qu’ils n’avaient que ces outils à l’époque. C’est vraiment vers l’âge de 15 ans que j’ai changé ma façon de communiquer et d’agir.

Je leur ai parlés avec respect et j’ai fait remarquer que cela devait être réciproque. Ce n’est pas parce qu’ils sont mes parents qu’ils ont l’autorisation de me parler et d’agir sans respect à mon égard.

Évidemment, il a fallu du temps et de la patience avec eux. Mais cela en valait la peine… même si je ne peux pas reconstruire leur propre estime d’eux même. Car après tout ils sont créateurs de leur vie et de leur être.

Nos relations se sont apaisées et une #bienveillance se construit.

Adeline Petit, L’équipe de Mouvelife

Poursuivre la réflexion : https://apprendreaeduquer.fr/pardon-ne-rend-pas-heureux/

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Notre plus grande histoire d’amour est celle que nous avons avec nous-même par Adeline PETIT.

En effet, la seule personne qui partagera ce corps dans lequel vous lisez et vivez ces lignes…

C’est bien vous !

C’est l’individu qui a pour nom de naissance celui que vos parents vous ont donné où à défaut une administration. Cependant, dans cette société de consommation de masse qu’est la nôtre à l’heure actuelle…

Pourquoi la création de toutes ces richesses engendre tant de déséquilibre du point vue psychique humain et environnemental ?

Car le but de la vie est de créer des richesses matérielles, psychiques et nutritives pour notre collectivité dans le respect de notre milieu.

Néanmoins, nous entendons et lisons que la société est devenue trop individualise. Alors la question suivante se pose : Pourquoi sommes-nous arrivés à ces extrêmes ?

Je vais vous proposer une réponse simple, enfin je ferai de mon mieux pour qu’elle le soit  car c’est le but de Mouvelife. A la vue et à l’analyse de mon expérience d’un burnout sur la période 2009-2010, nous sommes des êtres émotionnels dépendants. Nous n’arrivons pas à nous valoriser avec autonomie ou liberté. En effet, être adulte c’est être responsable de ses actes sur tous les plans : physique, matériel, psychique et émotionnel. Le voici, l’émotionnel, le quatrième ingrédient magique ! Celui que nous nous employons à contrôler ou nier.

Et pourtant, l’expression de nos émotions est la clé de notre autonomie psychique, matérielle et physique.

Céline Alvarez explique très bien dans son livre « Les lois naturelles de l’enfant » qu’un individu qui se construit, le réalise dans la valorisation de ses propres expériences. Toutefois dans la plupart des systèmes éducatifs parentaux ou de collectivité, c’est la valorisation de l’expérience du collectif sur l’individu qui est retenue dans 90% des cas. On n’encourage même nos enfants à être au-dessus de ce collectif, c’est un non-sens et un oxymore. C’est l’une des raisons pour laquelle la société est partie dans les extrêmes de l’individualité non valorisée.

En effet, nous sommes attirés par ce système comme une abeille qui butine des fleurs car on nous a appris à nourrir les besoins émotionnels du collectif mais pas celui de l’individu.

Et pourtant, une personne qui n’est pas nourrie à la racine ne peut être autonome pour nourrir le collectif : elle se vide et s’épuise…

C’est ce qui s’est passé pour moi et pour beaucoup d’autre personne qui ont fait des dépressions ou burnout et pour tous avec des degrés divers selon votre environnement familial, amical et professionnel.

J’ai donc dû réapprendre à me nourrir émotionnellement car avec du recul, je n’avais aucune maturité et autonomie dans ce domaine. C’est ce que l’on appelle l’estime de soi qui n’a rien à voir avec l’égocentrisme.

L’égocentrisme est la valorisation de soi au détriment du collectif c’est-à-dire en mettant certains rôles en déconsidération. Exemple que je constate tous les jours car je travaille aussi pour un cabinet spécialisé dans les entreprises de nettoyage. Mais s’il n’y avait pas d’agent d’entretien, il y aurait une prolifération des maladies. Tout le monde a son rôle et sa valeur sans exception, même la personne la plus négative pour nous montrer que nous empruntons un chemin non constructif et créateur. Car la création est l’essence de la vie mais pour cela le créateur doit avoir confiance en lui et en son potentiel.

L’estime de soi, c’est reconnaître sa valeur en tant qu’un individu dans un collectif en reconnaissant que tout le monde a son rôle.

Chaque individu a son rôle et se spécialise dans celui-ci quand il a le choix de l’expérimenter et que nous l’encourageons en tant qu’ingrédient et potentiel à construire ses rêves pour lui et pour enrichir donc par la même occasion le collectif. Le collectif est la somme de la création de tous les rêves des individus à explorer le monde et notre univers vers l’UNI-VERS-ELLE :

Elle = la VIE !

Voilà pourquoi il est important de créer et de bonifier notre version de nous-même.

C’est ce que j’ai écrit dans le livre « Un sens à Soi, comment être en équilibre dans un monde en déséquilibre », disponible en autoédition chez Amazon. Il sera disponible chez les éditions Amalthée à la rentrée scolaire 2020.

Celui-ci explique mon mode de vie depuis mon burnout et comment je construis mon indépendance émotionnelle au jour le jour, pas à pas, pour être au service de la collectivité. En résumé, c’est un mode opératoire.

Merci à vous…et merci à nous !

A bientôt.

Adeline PETIT, auteure en développement personnel.

http://www.unsensasoi.com

Article en audio sur YouTube:

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Virus et réchauffement climatique versus réchauffement des esprits et crise sanitaire. Par Adeline Petit

Nous sommes le 31 mars 2020 est comme beaucoup de personnes, je suis rentrée dans ma troisième semaine de confinement à la maison à cause d’un virus, le COVID-19. Le roi des virus porte son nom comme un gant, il a mis tout le monde sur la même marche du podium et il touche tout le monde.

Maintenant, prenons notre envol au-delà de toutes les conséquences économiques, familiales, environnementales et sociétales comme Agnès Renaut l’a expliqué dans l’avant-dernier article de Mouvelife «  Le soi, le seul, le tous : crise sanitaire et prise de conscience salutaire ? ».

Franchement, il est quand même édifiant que le réchauffement climatique rime avec la crise des esprits. En effet, depuis quelques mois nous observons une accélération de l’échauffement des esprits avec les différents mouvement de groupe qui revendiquent leurs droits à plus de ressources matérielles, humaines, de reconnaissance et de dignité. Et cela dans des services essentiels au maintien de l’évolution de notre société c’est-à-dire dans l’éducation, la santé et l’agroalimentaire. Tous ces secteurs ont été dépouillés de toute dignité et de moyens à cause de revendications économiques au profit d’autres structures qui sont « non essentielles » évidement à des degrés divers. D’où un « réveil », une explosion de la colère car nous avons atteint les besoins primaires.

Oui ! Une grande partie de la population a pris conscience de cet enjeu environnemental et climatique à son « échelle ». Mais la question se pose, que faut-il faire ?

En effet, l’heure n’est plus à discuter et à penser.

Il est temps d’essayer et de mettre en place de nouvelles choses et si cela ne correspond pas aux résultats attendus, il suffira de modifier les paramètres d’ajustement.

De mon point vue (plus de 10 ans en management qualité, sécurité et environnement) : c’est le dogme de la performance et la perfection qui a échauffé tous les esprits et le climat par conséquent avec le non-respect de notre environnement. Cela a pour conséquence de mettre un voile sur nos erreurs qui sont devenues une honte et par orgueil nous ne les regardons pas alors que le droit à l’erreur est primordial. Il est même ESSENTIEL, « Les échecs » sont nos plus grand maîtres et non nos ennemis.

C’est l’arrogance de notre humanité, cette honte de s’être trompé qui bloque notre processus d’évolution : l’histoire est racontée par les vainqueurs donc il y a une perte énorme de données et d’informations. C’est peut-être pour cela que nous avons l’impression même parfois dans nos vies de répéter les même erreurs… puisque nous les nions.

Alors il est peut-être temps de revenir à l’essentiel c’est-à-dire l’EDUCATION, la SANTE et l’EXPLORATION DE LA VIE dans le respect de soi et de l’autre. Car il est évident que le réchauffement climatique est là, il a commencé. A nous de faire preuve de sagesse et de s’adapter au nouvel environnement qui se présente, en regardant nos erreurs sans les juger mais en les accueillant comme des faits. La crise sanitaire que nous vivons est peut-être un début : en 2016, la fonte des glaces a déjà libéré un vieux virus de plus 75 ans, l’Anthrax.

« Pendant l’été 2016, un enfant est mort en Sibérie de la maladie du charbon (anthrax), pourtant disparue depuis 75 ans dans cette région. », extrait de l’article de Futura planète.

Si nous observons cela dans sa globalité, il y a quand même une sacrée coïncidence entre l’échauffement de nos esprits et le réchauffent climatique.

Evidemment, nous avons bafoué les lois de la nature. Pendant que celle-ci met quatre cycles pour produire les besoins essentiels à tout être vivant, nous fabriquons des outils pour détruire nos semblables quatre fois plus rapidement ; pour aller toujours plus vite ; pour être plus fort ; PLUS et toujours PLUS. Certes, la vie est création et croissance mais nous avons oublié qu’elle a un rythme. Il est clair et évident que ce n’est pas celui que nous utilisons en ce moment.

Le réchauffement climatique va engendrer certainement la libération d’autres virus, faut-il en avoir peur ? Si nous ne changeons pas notre état d’esprit et par conséquent notre manière de vivre alors oui, la peur est nécessaire à accueillir comme une énergie de renouvellement. Là vas être l’enjeu de notre humanité, transformer nos peurs en énergie d’évolution et cela commence toujours par soi.

Connais-toi toi-même disait Socrate.

Adeline PETIT, auteure et conférencière en développement personnel.

Livre : « Un sens à soi, comment être en équilibre dans un monde en déséquilibre »

Site internet : www.unsensasoi.com

Un Sens à Soi, guide universel de développement personnel.
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Qu’est-ce qui nous empêche de réaliser nos bonnes résolutions ?

Qu’est-ce qui nous empêche de réaliser nos bonnes résolutions ?

Tout d’abord je me joins à ma consœur Lwanga Ambella pour vous souhaiter mes meilleurs vœux 2020.

Que nos projets se réalisent au-delà de nos rêves dans les domaines que nous souhaitons.

Je vais compléter ce thème en l’abordant du point vue dit « négatif ». En effet, nous nous donnons souvent des objectifs en début d’année mais qu’est-ce qui nous empêche de tenir et de concrétiser ces bonnes résolutions ?

 Réponse : Ce sont NOS PEURS conscientes mais surtout inconscientes.

Maintenant, comment connaître nos peurs inconscientes, les accueillir et les accepter ?

C’est tout simplement un processus d’observation de soi.

À la suite d’un burnout sur la période 2009-2010, j’ai eu un déclic qui a changé toute ma vie. J’ai accepté intégralement que j’étais responsable de ma vie. J’ai découvert et accueilli mes peurs pas à pas et j’en ai fait mon chemin de réalisation.

 Vous voulez tenir vos bonnes résolutions ? Pour cela il faut prendre conscience de vos peurs et les transformer à travers des activités de développement personnel ou à travers l’art. Car elles ont besoin d’être reconnues pour les transformer et les exprimer en douceur. En effet, c’est comme cela qu’elles ne vous hantent plus l’esprit. C’est ainsi qu’elles deviennent des tremplins, des leviers sur le chemin de vos rêves et la réalisation de votre Vie.

Etape numéro 1 : cela commence par l’art de les observer sans analyse et sans jugement. C’est ce que l’on nomme l’art du lâcher prise.

Etape numéro 2 : les exprimer pour qu’elles deviennent des alliées et non des ennemies.

Nous vous proposerons prochainement une méthode classique pour les accueillir : la méditation. C’est-à-dire l’art d’être dans la pleine conscience de soi ou encore appelé le « mindfulness ».

Vous trouverez sur ce lien un article intéressant sur la méditation et ses bienfaits de France

Culture : “Pourquoi il faut mettre la méditation au centre des thérapies”.

https://www.franceculture.fr/conferences/universite-de-strasbourg/pourquoi-il-faut-mettre-la-meditation-au-centre-des-therapies

Maintenant vous êtes prêts pour accueillir vos peurs et en prendre conscience pour qu’elles deviennent vos alliées. Alors, nous vous disons à bientôt sur Mouvelife pour l’astuce sur les mécanismes de la méditation.

L’équipe de Mouvelife vous souhaite de réaliser l’un de vos rêves cette année. Note blog a pour objectif de transmettre du développement personnel pour tous alors n’hésitez pas à nous faire part de vos attentes dans les commentaires.

A bientôt !

Adeline PETIT

Auteure et Co-driver en développement personnel.

http://www.unsensasoi.com

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